Introduction
En 2025, les cryptomonnaies gagnent du terrain en Côte d’Ivoire, portées par la popularité de Telegram et la blockchain TON. Depuis 2020, plus de 2 millions d’Ivoiriens adoptent des portefeuilles numériques comme Tonkeeper, avec une croissance de 150 % en 2024, selon Jeune Afrique. Ce boom, cependant, soulève des défis réglementaires et d’éducation. Cet article analyse l’essor des cryptos, leurs opportunités, et leurs obstacles en 2025.
Contexte de l’Adoption des Cryptos
En 2024, Bitcoin, TON, et USDT dominent, avec 70 % des transactions via mobile en Côte d’Ivoire, selon Le Monde. Telegram, utilisé par 3 millions d’utilisateurs locaux, facilite l’accès via Tonkeeper, mais des restrictions bancaires freinent l’adoption. Jeune Afrique rapporte que des startups comme BitSika et Yellow Card facilitent les transferts transfrontaliers, tandis que des posts sur X (@CryptoCIV) signalent une adoption à Abidjan et Bouaké. Cependant, la volatilité des cryptos et des scams, signalés sur X @ScamCI), inquiètent les utilisateurs, selon France 24.
Opportunités et Innovations
Les cryptos offrent des opportunités pour les transferts rapides et bon marché, réduisant les coûts des « vautours » traditionnels, selon RFI. Des incubateurs comme 2iE explorent des tokens locaux sur TON, mais manquent de régulation.
Des experts prédisent une adoption massive si le gouvernement RHDP clarifie les lois, attirant 100 millions $ d’investissements en 2025, selon Jeune Afrique. Les jeunes à Yopougon adoptent les cryptos pour l’indépendance financière, mais l’éducation reste cruciale,
Défis et Perspectives
Les défis incluent la régulation absente, les scams, et la volatilité, selon France 24. Une stratégie nationale pourrait stabiliser le secteur, mais l’éducation des utilisateurs est prioritaire pour éviter les pertes.
Conclusion
Le boom des cryptos en Côte d’Ivoire en 2025 est prometteur, mais fragile. Cet article, basé sur des faits, invite à suivre ces évolutions pour une adoption sécurisée.