GAMAD Côte d’Ivoire : La Santé Publique en Côte d’Ivoire en 2025 – Défis et Progrès d’une Nation

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Introduction
En 2025, la santé publique en Côte d’Ivoire fait face à des avancées significatives et des défis persistants. Depuis 2020, le gouvernement a renforcé les infrastructures hospitalières, mais des zones rurales restent en difficulté. Cet article examine les progrès dans la lutte contre le paludisme, les défis comme le VIH, et les perspectives pour une santé durable, offrant une analyse complète pour comprendre la situation en 2025.
Progrès dans la Santé Publique
La Côte d’Ivoire a vacciné 80 % de sa population contre le paludisme en 2024, selon des rapports officiels, réduisant les décès de 20 % dans le sud. À Abidjan, de nouveaux hôpitaux à Cocody et Yopougon ont amélioré l’accès aux soins, mais des épidémies comme Ebola aux frontières inquiètent les autorités. Les cliniques rurales, comme à Daloa, reçoivent des équipements modernes, mais manquent de personnel qualifié. Les initiatives communautaires, notamment à Korhogo, favorisent la prévention, tandis que des campagnes nationales sensibilisent sur la nutrition, diminuant la malnutrition infantile de 15 % en 2024.
Défis de Santé Actuels
Le VIH reste un défi majeur, avec une prévalence de 2 %, nécessitant une prise en charge continue dans le nord et l’ouest. À Man, des cliniques signalent une saturation, tandis qu’à Bouaké, des pénuries de médicaments freinent les traitements. Les coûts pharmaceutiques, élevés à Abidjan, limitent l’accès pour les ménages à faible revenu, selon des observations locales. Les inondations fréquentes à Treichville aggravent les maladies hydriques, et les jeunes, particulièrement touchés par le stress, manquent de services de santé mentale, signalés dans les discussions communautaires.
Perspectives et Solutions
En 2025, une stratégie nationale pourrait renforcer les infrastructures rurales, attirer des professionnels de santé, et subventionner les médicaments. Des partenariats avec des ONG internationales, évoqués dans des forums locaux, visent à former 5000 médecins d’ici 2027. Une éducation sanitaire accrue, portée par des initiatives à Yamoussoukro, pourrait réduire les maladies, mais l’investissement public reste crucial pour une couverture universelle.
Conclusion
La santé publique en Côte d’Ivoire en 2025 progresse, mais les défis subsistent. Cet article invite à suivre ces évolutions pour une nation en bonne santé.
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